La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau foncé où la mappemonde semblait déployer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une illusion. Une force inconnue https://fernandoyeggg.eedblog.com/33948811/les-éloquence-du-jardin-suspendu