Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du patronyme d’Orhan découvrit un objet unique parmi ses innovantes acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en fin, funeste et adroitement sculpté, orné d'arabesques indéchiffrables qui semblaient danser sous l'éclairage des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, zéro https://finntkvfn.suomiblog.com/l-éclipse-des-mémoires-49492582