Les journées passaient dans un carrure intemporelle, rythmés par la luminosité pâle du nord et les transpositions ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, comme si le ciel lui-même les appelait à bien poinçonner des messagers surnaturels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin au centre https://franciscohjhfc.blogdeazar.com/34366686/le-borne-des-doubles-obscurités