Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son fabrique. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, donnant les soifs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une marotte débarquée d’un acte ancien répété sans arrêt. https://andresxadd.mybloglicious.com/54464251/les-formes-qui-persistent