Les nuits se succédaient dans la vallée andalouse, calmes en aspect mais chargées d’une tension artérielle silencieuse. Ana poursuivait ses siècles, habitée par un mélange d’émerveillement et de culpabilité. Chaque soir, dans le jardin parfumé par le jasmin, elle libérait doucement ses papillons nocturnes, décidant de suivre précautionneusement leurs vols https://lauriana08641.kylieblog.com/34928799/la-danse-du-désintéressement